Au-delà de son rôle de « planche » de résonance et de miroir, le coach professionnel challenge les idées préconçues, stimule la créativité et la croissance personnelle. Dans toute organisation, qu’elle soit privée ou publique, le coach peut intervenir au niveau de la direction, des managers, des équipes ou de façon individuelle.
Dans chacun des cas, le coaching permet d’explorer de nouvelles solutions, d’encourager, de renforcer la confiance.
Avec un regard inconditionnellement positif, le coach ne doit avoir d’autres objectifs que ceux de son client. Quand le courant passe et c’est évidemment un premier critère de choix sine qua non, il se crée un véritable partenariat, fondé sur la confiance.
L’expérience du coaching amène le client à puiser dans son potentiel et donc à faire « autrement » au profit de son efficacité au travail. Plus il met en pratique ses nouveaux comportements, plus il est performant. Il relève de plus grands défis, et produit des résultats plus probants pour son Organisation comme pour lui-même.
Mais alors, et si l’efficacité du coaching n’est plus à démontrer, comment choisir LE coach ? 3 conseils incontournables :
- S’entourer d’un cabinet conseil spécialisé. Selon votre problématique, votre contexte, votre secteur d’activité, la nature des équipes ou des individus à coacher, votre besoin sera différent et le coach adapté également. Ainsi il sera plus aisé de s’adresser à un cabinet regroupant plusieurs coachs pour que celui-ci analyse finement votre besoin et vous adresse le ou les coachs qui paraîtront les plus adaptés : expérience du coaching, CV,…
- Ne travailler qu’avec un coach certifié : quelque que soit le cadre de référence auquel il fera appel (Analyse Transactionnelle, approche systémique, PNL..) ou l’organisme « certificateur », il est indispensable que votre coach soit certifié pour que vous ayez la certitude de sa compétence et du travail réalisé en amont.
- Ne pas prendre le coach pour ce qu’il n’est pas. Un coach n’est pas un formateur ou un consultant conseil. Il n’est pas non plus un thérapeute. Même s’il considère son client dans sa globalité (histoire, valeurs, croyances…), le coach favorise l’émergence de solutions, il travaille le « comment faire » dans le futur et non le « pourquoi ». S’il est indispensable que le coach et le coaché nouent une relation de confiance basée sur l’ouverture, le processus et les modalités d’intervention devront être très claire et répondre à une demande définie.